Tout le territoire français possède un statut « zone assainie en varron ».
En cas d’introduction d’un bovin provenant d’un cheptel (ou d’un pays) ne bénéficiant pas de la qualification varron, un traitement adapté doit être réalisé par le vétérinaire sanitaire.
Le maintien de la certification est effectué à l’échelon nationale grâce à des recherches d’anticorps sur lait de grand mélange ou sur le sang (20% des bovins) d'un échantillon d'élevages tirés au sort pour chaque départements et complété par une surveillance orientée définie localement. Ces analyses sont conduites dans le cadre des prophylaxies annuelles obligatoires.