Actualités régionales

Le Ministère de l’agriculture renouvelle sa campagne nationale de communication visant à prévenir l’introduction de la peste porcine en France. 

Au vu des conséquences sanitaires et économiques qu’aurait une arrivée de la PPA en France pour la filière porcine et le monde de la chasse, la mobilisation de tous les acteurs est nécessaire, dans l’ensemble du pays pour diffuser très largement les messages de sensibilisation et de vigilance.

Les supports de communication sont mis à disposition sur le site internet du ministère à l’adresse : https://agriculture.gouv.fr/peste-porcine-africaine.

Compte tenu de contagiosité de ce virus, la biosécurité reste la clé de la protection des élevages.

Ci-joint le courrier de la DGAl adressé aux membres du Comité de pilotage porcin, concernant le renouvellement de la campagne de communication.

GDS France a actualisé la note concernant les exigences aux mouvements des ruminants en Europe vis-à-vis de la Fièvre catarrhale ovine (FCO) cf pièce jointe.

Les mises à jour concerne la Belgique, qui vient d’être reconnue indemne de FCO, et la Corse.

Ce jeudi 29 juin entre 4h30 et 5h30 du matin, un chien de race Drahthaar s’est introduit sur une parcelle contenant une vingtaine de brebis à Cubry-les-Favernay (70160). Après une heure d’amusement sur le troupeau, le chien est gentiment rentré chez lui laissant, deux brebis mortes, neuf brebis à l’agonie et une dizaine de blessées.

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Dans le Sani'Terre adressé aux éleveurs bovins du département avec l'appel de cotisation, le Président du GDS25 fait un état des lieux de la situation actuelle et des projets futurs.

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Durant les épisodes caniculaires, il est interdit de réaliser du transport routier d’animaux vivants entre 13h et 18h sur le territoire concerné par l’alerte canicule. Tous les maillons de la chaîne adaptent leurs horaires de travail.

Par ailleurs, la température à l’intérieur du véhicule ne doit pas dépasser 30°C.

Plus d’informations : ICI

La troisième campagne de dépistage des naissances et d’assainissement des foyers se termine. Retour sur la surveillance 2022-2023.

L’assemblée générale du GDS BFC s’est tenue le lundi 3 juillet dans les locaux du conseil régional à Besançon. Dans un climat de tensions apaisées, présidents de GDS et de sections spécialisées, partenaires historiques, représentants de l’administration, de laboratoires ont redit toute l’importance de travailler ensemble. Retour sur la question sanitaire avec Pascal Martens, président du GDS BFC, éleveur de bovins en Côte d’Or.

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(D’après un communiqué de GDS France)

La Belgique a été reconnue indemne de FCO le 5 juin dernier. Les animaux belges peuvent donc venir en France sans aucune exigence vis-à-vis de la FCO. L’Agence Fédérale Belge a communiqué à ce sujet (voir pièce jointe).

Il y a des évolutions concernant les exigences des animaux français y compris pour le pacage frontalier :

- Il n’y a plus de dérogation pour les animaux > 90 jours. Cela signifie que les animaux > 90 jours destinés à la Belgique doivent être vaccinés contre le sérotype 4 ET 8 depuis au moins 60 jours (et non plus 10 jours).

- les animaux < 90 jours (et non plus 70 jours) ont été soumis à un test PCR (pool de 10 prélèvements possibles) après avoir été traité avec un insecticide au moins 7 jours avant le test.

Cependant, il y a une interrogation concernant la date d’entrée en vigueur de ces évolutions. En effet, le communiqué de l’Afsca indique le 5 juin mais la DGAl aurait indiqué le 1^er septembre. Nous sommes en attente d’une confirmation de la DGAl.

1- Contacter le plus rapidement possible l’Office Français de la Biodiversité (OFB) et sous 72 h maximum au 03 80 29 43 91.

Un agent de l’OFB interviendra sous 48 h max pour remplir le constat avec l’éleveur et réaliser les prélèvements (astreinte 7j / 7).

Au-delà de 72 heures pour la déclaration, il sera considéré que le constat ne permettra plus d’apporter les éléments nécessaires à l’ouverture d’un dossier d’indemnisation.

2- Protéger sans dégrader les indices :

Objectif : sécuriser le périmètre et faire l’inventaire des dégâts.

• Eviter de dégrader les éventuels indices sur le terrain (empreintes, déjections fécales, etc.),
• Localiser tous les cadavres,
• Prendre si possible des photographies,
• Protéger (sans les déplacer) les victimes des charognards par une bâche,
• Essayer d’isoler les animaux blessés du reste du troupeau (et les mettre à l’abri),
• Relever le numéro d’identification complet de chaque animal tué ou blessé,
• Identifier les boucles éventuellement manquantes et en noter également le numéro,
• Si les animaux sont en parc clos, vérifier l’état de la clôture, (A noter : l’indemnisation pour les animaux disparus ne pourra intervenir que si le constat fait état d’une dégradation de la clôture)
• Essayer de déterminer si des animaux ont disparu (nombre, etc.),
• En vue du constat, noter le nombre d’animaux constituant le lot concerné par le dommage,
• En vue du constat, si possible, disposer de son numéro SIRET et de son numéro PACAGE

L’ensemble de la profession et les services de l’Etat restent mobilisés sur ce dossier.

Plus d’info : https://bourgognefranchecomte.chambres-agriculture.fr/actualites/detail-de-lactualite/actualites/attaque-de-loup/ 

La Chambre Régionale a interpelé le Gouvernement sur la présence du loup dans des zones d’élevage à l’herbe comme la Bourgogne-Franche-Comté au travers d’un communiqué que vous trouverez sur ce lien :

https://bourgognefranchecomte.chambres-agriculture.fr/fileadmin/user_upload/Bourgogne-Franche-Comte/061_Inst-Bourgogne-Franche-Comte/CRABFC/Predation/2023-05-26_CP_Predation_Vfinale.pdf

GDS BFC s’est associé aux nombreuses organisations agricoles signataires de ce manifeste qui appelle à la transparence sur la gestion du loup dans notre région et au respect du travail des éleveurs.