Actualités régionales

Un appel à projet ouvrant droit à des aides pour la protection des exploitations et des troupeaux ovins et caprins contre la prédation est ouvert jusqu'au 31 juillet 2023 dans le cadre du plan stratégique relevant de la PAC 2023-2027.

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Un cas d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) sur une mouette rieuse est déclaré dans le sud du Haut-Rhin le 16 février 2023, à proximité immédiate du territoire de Belfort. Cela entraîne la mise en place d’une zone de contrôle temporaire incluant les communes dans un rayon de 20 km. Cinq communes du Doubs sont intégrées dans ce périmètre : Allenjoie, Badevel, Dambenois, Dampierre-Les-Bois et Fesches-Le-Chatel.

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En partenariat avec le GDS et avec la Chambre d’Agriculture, le programme INN’OVIN propose une journée autour de l’agnelage, le 9 mars à COURTESOULT ET GATEY en Haute-Saône.

Programme : ICI

Inscription nécessaire (et renseignements) avant le 1er mars auprès de la Chambre régionale d’agriculture : 06.27.31.01.57

Journée gratuite (de 10h à 16h), repas non pris en charge

Le 26 janvier dernier, le GDS Bourgogne Franche-Comté organisait en partenariat avec l’AFPASA de Haute-Saône une formation « Eleveur infirmier » à Loulans-Verchamp. Edwige Bornot, vétérinaire praticienne en Côte d’Or et formatrice pour le GTV BFC est intervenue avec l’objectif de transmettre aux éleveurs présents les bonnes règles pour réaliser un examen clinique rigoureux et systématique de l’animal malade.

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La DDPP 21 a adressé ce message aux acteurs de la santé animale du département :

suite à la détection d'un cas d'influenza aviaire chez une grande aigrette collectée le 07/01/2023  sur la commune d'ANTIGNY-LA-VILLE (21), une zone de contrôle temporaire (ZCT) avait été mise en place dans le département de la Côte-d'Or, le 13/01/2023.

La période de surveillance de 21 jours (à compter de la collecte de l'oiseau) s'est écoulée sans qu'aucun nouveau cas d'influenza aviaire ne soit détecté, ni dans la faune sauvage libre, ni dans les élevages professionnels et basses-cours domestiques.

Suite à cette situation sanitaire favorable, cette zone de contrôle temporaire est levée.

Une enquête vient d'être lancée par la Chambre régionale d’Agriculture de BFC dans le cadre du projet « Imaginer demain - Agir maintenant », en lien avec le PACTE et la loi d'orientation et d'avenir agricoles initiés par le Ministère en charge de l'agriculture.

Cette enquête offre à l'ensemble des agriculteurs, conseillers, et structures la possibilité de s'exprimer sur leur vision et leurs attentes concernant leur métier.

GDS BFC encourage donc chacune et chacun à répondre à ce questionnaire avant le 15 février 2023.

Le questionnaire destiné aux agriculteurs est disponible ici :

• agriculteurs : https://fr.surveymonkey.com/r/TCB8GRX

Nous vous remercions sincèrement de votre implication pour cette action collective au service de notre agriculture régionale, qui doit permettre de porter haut et fort la voix du monde agricole.

Ce message rédigé par le Groupement Technique Vétérinaire (GTV) de BFC a été diffusé à l’ensemble des vétérinaires de la région et appelle à certaines précautions sur la vaccination FCO.
 

• Age minimal de vaccination

De nombreux vaccins imposent un âge minimal de 2,5 mois (cas des vaches immunisées), cet âge est même de 3 mois pour le ZYVAZUL. Les vaches sont toutes considérées comme immunisées contre le sérotype 4 et 8, toute date de vaccination antérieure à cet âge minimum est ainsi invalide, l'export est alors refusé.

Soyez donc vigilants à l'âge du veau lors de la réalisation de la première injection (2,5 mois ou 3 mois selon le vaccin utilisé).
 

• Réactions d’hypersensibilité aux injections d’antibiotiques sur des animaux vaccinés au préalable contre la FCO

Des cas de réactions d'hypersensibilité avec des chocs anaphylactiques souvent mortels sont décrits par des importateurs à la suite d'injections d'antibiotiques sur des animaux vaccinés notamment au ZYVAZUL. Aucun lien de cause à effet n'a été encore démontré. Toutefois les importateurs commencent à mettre la pression sur les exportateurs français pour relayer cette information, ce qui a été fait par la FFCB à tous ses adhérents. Certains Italiens demandent si c'est possible pour les commerçants français de ne plus leur livrer de broutards vaccinés au ZYVAZUL....

Vous trouverez ci dessous une information de l'ANSES qui vous informe des dernières données scientifiques à notre disposition en sachant que la vérité scientifique se heurte parfois à la rumeur. Nous vous rappelons l'importance de réaliser des déclarations de pharmacovigilance.

"ZYVAZUL BTV(qui est commercialisé en France depuis mai 2021) est mentionné dans un certain nombre de déclarations de réactions d’hypersensibilité chez des bovins, non comme ayant déclenché la réaction mais plutôt comme antécédent vaccinal des animaux affectés. Le rôle du vaccin dans la survenue de ces réactions n’est cependant pas encore établi.

Nous observons en France depuis 2020 une fréquence accrue des réactions d’hypersensibilité à des médicaments chez les bovins. Ces réactions d’hypersensibilité, allant de formes bénignes à des formes graves voire mortelles, sont des phénomènes bien connus des médicaments concernés. Ce qui interpelle à l’heure actuelle, c’est qu’à niveau d’utilisation égal, et sachant que beaucoup des médicaments impliqués sont utilisés sur le terrain depuis plus de 30 ans, ces réactions se produisent plus souvent qu’avant 2020. Les bovins peuvent réagir plus fréquemment qu’avant pour de multiples raisons, notamment génétiques, environnementales, médicamenteuses. Il est probable que le problème soit multi-factoriel.

L’ANMV a communiqué sur ce sujet (https://hal-anses.archives-ouvertes.fr/anses-03726413v1 ) et lancé une enquête sous forme de questionnaire auprès des vétérinaires praticiens. Plus récemment, en 2022, cette observation s’est étendue à d’autres pays européens. Un groupe de travail s’est formé au niveau de l’Agence Européenne du médicament pour analyser la situation au niveau européen. A ce stade nous n’avons pas de réponse quant aux raisons de cette augmentation, des hypothèses de sensibilisation ont été avancées et certains laboratoires pharmaceutiques ont lancé des études. Des médicaments très variés sont impliqués dans le déclenchement des réactions (antibiotiques dont oxytétracycline, dihydrostreptomycine, benzylpénicilline, vaccins, mais aussi antiparasitaires, minéraux). L’étude des historiques de traitement des animaux touchés montre l’utilisation de nombreux médicaments, parmi lesquels figurent des vaccins contre les mammites, des vaccins contre la BTV et d’autres médicaments."
 

Nous organisons une formation Eleveur infirmier sur le secteur de Labergement-Sainte-Marie en février. Cette formation vous permettra de faire baisser le taux de morbidité sur votre troupeau en adoptant les bons gestes sur vos bovins malades. Inscrivez-vous !

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Crée en 1986, SAGIR est un réseau de surveillance des maladies infectieuses des oiseaux et des mammifères sauvages terrestres.

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