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  • Vaccination FCO : vous faire connaître auprès de son vétérinaire

Vaccination FCO : vous faire connaître auprès de son vétérinaire

mis en ligne le 25 mars 2016 - Bourgogne - Franche-Comté

Les demandes des éleveurs sont gérées par les vétérinaires qui passent commande directement auprès des centrales de stockage.

 La commande de l’Etat pour vacciner 8 millions de bovins et 2,5 millions d’ovins ne sera réellement effective qu’à partir de mai 2016. D’ici là, il faut maintenir une distribution priorisée pour gérer une pénurie de vaccins même si les disponibilités évoluent au fil des semaines. Les demandes des éleveurs sont donc gérées par les vétérinaires qui passent commande directement auprès des centrales de stockage :

  • Il faut vacciner tous les animaux pouvant être vendu à l’export ou l’élevage dans l’année. Sans anticipation, les ventes seront plus difficiles. Les élevages demandeurs doivent se faire connaître de leur vétérinaire, dès à présent et pour bénéficier des vaccins dès leurs disponibilités (vaccination au Mérial ou CZV).

Pour le marché des génisses, il est conseillé de vacciner dès maintenant : les génisses prêtes à partir pour honorer les contrats les plus proches et les génisses à inséminer dans le courant de l’année pour les contrats à suivre.

  • Pour la vaccination des cheptels souches laitiers en vue d’une protection clinique du cheptel (vaccination au Bluevac BTV8 des laboratoires CZV), l’éleveur appelle son vétérinaire pour passer commande et le vétérinaire vaccine les cheptels dans l’ordre de réception des commandes, en suivant le principe du « premier arrivé, premier servi ».

Les femelles gestantes doivent avoir été vaccinées avant insémination pour être admises aux échanges avec les pays de l’Union européenne (la seconde injection doit être réalisée au plus tard 60 jours avant l’insémination). Pour la plupart des destinations, ce sont les animaux commercialisés qui devront avoir été vaccinés et pas la totalité du troupeau. A la reprise de l’activité vectorielle (attendue dans quelques semaines) et tant que les négociations avec les autorités espagnoles n’ont pas abouti, les jeunes veaux de la Zone réglementée devront être issus d’un cheptel vacciné pour être expédiés vers l’Espagne.

Si vous comptez participer à un concours situé en zone indemne, alors il faudra vacciner les animaux qui participeront.

  • Pour les vaccinations des broutards destinés à l’export, un quota est attribué à chaque élevage allaitant de la zone réglementée. L’éleveur appelle son vétérinaire sanitaire pour programmer la vaccination et choisit les animaux à vacciner. Il n’est pas contraint de ne vacciner que des broutards. Si le besoin dépasse le quota, il convient de se faire connaître rapidement auprès de son vétérinaire.
  • Les cheptels souches allaitants pourront bénéficier d’une tournée de vaccination en fonction des doses restantes. L’éleveur appelle son vétérinaire pour se porter candidat et passer commande. En attendant, ces élevages peuvent utiliser le quota-broutard qui leur est destiné.

   

Le vaccin est, cette année, pris en charge par l’Etat (jusqu’à épuisement des stocks du marché public). L’acte vaccinal, s’il est réalisé par le vétérinaire sanitaire, est à la charge de l’éleveur. Le vétérinaire pourra également facturer sa prescription lorsque l’éleveur vaccine lui-même. Toutefois, la vaccination devra impérativement être réalisée par votre vétérinaire sanitaire dans les cas où elle est exigée, à savoir : les mouvements d’animaux issus de la Zone Réglementée vers la Zone Indemne et pour l’admission des animaux aux échanges et exportations vers la plupart des pays tiers.

  

Le vétérinaire renseigne le carnet sanitaire comme pour tout médicament. Une fois le protocole de primo-vaccination complété, il devra donner à l’éleveur une copie du compte-rendu de vaccination qu’il adresse également à la DDCSPP. Enfin, il devra tamponner les passeports des animaux vaccinés Le tampon doit indiquer le numéro d’ordre du vétérinaire, la mention « vacciné FCO sérotype 8 », la date de l’injection terminant le protocole de primo-vaccination, ainsi que la signature du vétérinaire sanitaire vaccinateur.

  

Information utile :

Comme toute manipulation, la vaccination peut entraîner des perturbations physiologiques passagères telles que des poussées de fièvre, une baisse de la production de spermatozoïdes ou des retours en chaleurs. Lorsque cela est possible, il vaut mieux éviter de vacciner les femelles dans la période d’un mois avant et d’un mois après la mise à la reproduction, et les mâles dans les deux mois précédant la mise à la reproduction.

Seuls les animaux en bonne santé doivent être vaccinés. Il convient d’assurer une bonne contention pour l’efficacité des opérations, limiter le stress des animaux et préserver la sécurité des personnes.